Le châssis métallique de l’engin, comporte un pan incliné sur lequel se trouve les deux switches (by-pass et gain 2) et un décrochement sur lequel s’alignent les réglages : gain, master et égalisation trois bandes. Côté connexions, on entre, on sort et on alimente... en 18V ; cela implique deux piles 9V (100 h de fonctionnement selon Trace) ou l’achat de l’alim maison. Le rendu de l’engin, malgré une égalisation performante, reste typé "transistor" et ne conviendra pas si vous recherchez une disto discrète ou naturelle. En revanche, la Dirtbox sera à l’aise dans la production de distos marquées ou outrancières, surtout avec le gain en mode 2. Dans tous les cas de figure on évitera de trop pousser les réglages à moins de rechercher précisément des sons très crados.
Un effet qui annonce la couleur d’entrée (dirt) et intéressera les grungeos, les thrashers etc., ou complètera utilement une panoplie de pédales dans le cadre d’un home studio par exemple.