La pédale se paie un look "american and proud of it" avec chromes, blason et logo personnalisé façon Harley Davidson. Elle adopte le même châssis que le tremolo de la marque, stable et robuste, mais ne présente aucun logement pour pile, l’Univibe requérant une alimentation externe 18 volts (fournie). Trois réglages, vitesse volume et intensité, une entrée instrument, une sortie ampli, une entrée pour une pédale contrôlant la vitesse (on peut à cet effet se servir d’une pédale de volume), une prise alimentation externe (fournie) et on a fait le tour de l’engin.
En mode chorus l’effet n’est pas impérial mais là n’est pas sa vocation première. En mode vibrato, on se croirait revenu dans les seventies, c’est très agréable, l’effet est riche, défini et plus profond que sur la Rotovibe de la marque. En fait le seul talon d’Achille de l’Univibe est son prix qui risque de décourager pas mal de monde.